Vies antérieures : témoignages d'enfants
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Cette semaine, nous allons aborder la réincarnation. Enfin, un léger focus sur la réincarnation ! Je ne défendrai aucune thèse, mais me contenterai de restituer les témoignages glanés sur le net et notamment sur le site Reddit qui offre un panorama des articles du web avec un classement selon les consultations.
Bien, pour revenir à nos moutons, j’ai été inspiré par un article qui traitait de l’histoire d’un enfant de 4 ans qui se souvenait d’avoir été assassiné dans sa « dernière vie ». Encore plus fort, il a conduit ses parents et ceux qui voulaient bien accorder assez de crédit à son histoire, sur les lieux où il avait été enterré. Bon, la suite prétend qu’il a également identifié son meurtrier, mais pour confirmer ça, je vous prie de croire qu’il faut s’accrocher ! Et puis, y a pas à dire ! Dès qu'il y a des enfants dans le tas, ça déclenche une série de frisson ! Qui ne s'est jamais ronger les ongles devant un film d'horreur dans lequel fredonne des voix enfantines à vous faire hérisser les poils ? :-)
Voilà donc 19 courtes histoires que j’ai traduites.
Il nous a montré sa tombe
"Quand mon frère avait environ 3 ans, il nous a dit que son nom était Austin. Il ne s'appelait pas du tout Austin ! Un jour, alors que nous pique-niquions non loin d’un cimetière, mon frère est parti en courant vers les pierres tombales. Mon père et moi l'avons suivi et l'avons retrouvé touchant une grosse pierre qui disait simplement "Ci-gît Austin" sans nom, sans date. Mon frère ne savait pas lire à cette époque et cette tombe n'était pas visible d'où nous étions. Pourtant, il a couru droit au but…"
Pompier
"Un jour, mon fils m'a expliqué qu'il avait été pompier. Je lui ai demandé de m’en dire davantage tout en souriant. Du haut de ses 5 ans, je pensais plutôt à une carrière imaginaire.
« J’étais pompier et on nous a appelés au feu. Il n'y avait pas de famille dans la maison, alors nous avons juste éteint le feu. Puis le camion de pompiers a pris feu et je suis mort ». J’étais stupéfait. Quelques jours plus tard, il nous a précisé qu'il avait été emmené à l'hôpital, où il est mort.
Nous ne regardons plus les pompiers de la même manière..."
Le nom de sa mère était Sally
"Je parlais avec ma fille de quatre ans quand soudainement, ces propos me mirent la chair de poule. Elle me racontait une histoire à propos de son "autre mère" et que cette dernière "était morte un jeudi...
J'ai essayé de la raisonner. C’est une enfant et les gamins ont une imagination débridée... Cependant, par la suite, elle a commencé à approfondir la mort de son "autre mère", dont le nom était apparemment Sally. Je dois préciser que ma fille n’a jamais rencontré de personne nommée Sally et je ne me souviens d'aucune émission qu'elle regardait à l'époque où "Sally" était un personnage. Elle m'a dit qu'elle était en train de jouer avec l'arme de son père qu'elle avait trouvée et qu'elle avait accidentellement tiré et tué sa mère, Sally, alors que cette dernière montait dans l’escalier. C'était plutôt bizarre. Nous n’avons jamais eu d'armes à feu dans notre maison et je ne suis même pas sûr de ne lui avoir jamais expliqué à quoi les armes servaient et comment elles pouvaient blesser ou tuer. En même temps, ma fille n’avait que quatre ans !
Pourtant, avec le recul, je commence à comprendre pourquoi quand j'essaie de lui expliquer que lorsque quelqu'un meurt, il s'en va pour toujours. A chaque fois, elle lève les bras au ciel en m'expliquant :
"Nous revenons, maman !"
Je n'ai que 23 ans, j'ai eu ma fille très jeune et même si je n'y étais pas préparée, je ne pense pas que je n’aurais jamais pu me préparer à une telle conversation!"
Elle venait me rendre visite
"Mon fils dit qu'il se souvient de son arrière-grand-mère (ma grand-mère). Il peut d’ailleurs la décrire avec une grande précision : à quoi elle ressemblait, comment elle a agi et même la marque des cigarettes qu’elle fumait ! Et pourtant, ma grand-mère est morte 11 jours avant sa naissance !
Il m’a tranquillement expliqué qu'elle venait lui rendre visite dans ses rêves… "
Conchon
"A partir du moment où mon fils fut en âge de former des mots et ce, jusqu’à l’âge de 3 ans, il racontait qu'il était un Amérindien du nom de Conchon. Il expliquait qu'après que sa femme et son fils soient tombés malades, il avait déménagé pour vivre seul avec son cheval. Il est mort le cou cassé en tombant dans un ravin…"
Ma vraie mère et mon père ont été tués quand les méchants sont venus…
"Quand j'avais 2 ou 3 ans, je me souviens avoir parlé avec ma grand-mère. Je lui ai dit que ma mère et mon père n'étaient pas mes vrais parents. Ma grand-mère, sachant que ce n'était pas vrai, m’a contredit. J'ai calmement maintenu ma position en lui expliquant que ma vraie mère et mon père avaient été tués quand les méchants étaient venus. Si j’avais survécu, c’est parce que ma mère m’avait caché derrière un rocher. J'ai ensuite continué à décrire les hommes blancs avec des fusils, des gens «sombres» avec de longs cheveux. Quand j'ai eu fini, je suis retourné manger ma glace…"
La maison
"Ma cousine, âgée d'environ 3 ans voyageait dans la voiture avec ma mère et mon père lorsque soudain, elle a indiqué une maison au hasard, le long de la route, en s’exclamant : Je suis morte là-bas !"
Le pont
"Quand j'avais environ 3 ans, ma mère et moi étions en voiture et passions au-dessus d’un pont sur lequel il y avait récemment eu un accident mortel. Une auto avait explosé et le conducteur avait péri dans les flammes.
Quoi qu'il en soit, j'ai demandé à ma mère qui était l'homme sur le siège avant. Bien entendu, personne ne se trouvait à côté de ma mère qui conduisait. Lorsqu’elle m'a demandé de le décrire, j'ai dit: « Eh bien, il est en feu et il me regarde. »"
Noyade
"Ma mère m'a raconté une histoire que je lui avais racontée à l'âge de 2 ou 3 ans. A cette époque, j’étais très heureux de lui dire qu'elle était la meilleure maman que je n’aie jamais eue. Chose à laquelle elle a répondu :
«Je suis la seule maman que tu aies eue.
— Non, j'ai eu une autre maman. " ai-je répondu.
J'ai expliqué que ma grande sœur et moi étions allés à un étang dans les bois derrière ma maison. Autour de l'étang, tous les arbres étaient du même type : maigre avec de l'écorce blanche comme du papier (je n'avais jamais vu un peuplier de ma vie !) Nous avons assemblé des bûches pour faire un radeau et nous l'avons mis à l'eau pour jouer au capitaine de bateau. Nous sommes montés à bord mais le radeau s'est effondré et je ne savais pas nager. J'ai essayé de saisir une bûche, mais ma main a glissé. La tête sous l’eau, je pouvais voir ma sœur flipper sur le bord jusqu’à ce que je meure…"
C’est pourquoi je n’aime pas l’eau maintenant !
"Quand mon gosse avait 4 ans, nous regardions un documentaire sur le Titanic. La scène présentait une image avec les schémas de la chaufferie. La caméra filmait en panoramique, de gauche à droite. Soudain, mon fils pointa la télé et dit : « C'est faux. Les chaudières étaient de l'autre côté. Et j'étais juste ici. » Accompagnant le geste à la parole, il désigna un petit espace dans la chaufferie. « C'est là où j'étais quand je suis mort. Et c'est pourquoi je n'aime pas l'eau maintenant. »"
Personne ne me passe dessus !
"Un soir, ma fille de deux ans et demi venait de sortir du bain tandis que ma femme et moi lui expliquions à quel point il était important qu’elle maintienne ses parties génitales propres. Elle a répondu avec désinvolture : « Oh, personne ne viendra voir à cet endroit ! Ils ont essayé une nuit. Ils ont donné un coup de pied dans la porte et essayé, mais j'ai bougé. Je suis morte et maintenant je suis là. » Elle a dit cela comme si de rien n'était. J’ai cru que mon épouse allait s’évanouir…"
Inversion des rôles
"Un jour, mon fils de trois ans m’a demandé : « Tu te souviens quand j'étais adulte et que tu étais le petit garçon ? »"
Quand il serait adulte
"Mon père détestait les policiers quand il était enfant, il disait à ma grand-mère qu'ils venaient chez lui et lui tiraient dessus quand il était grand."
Bon, comme dirait mon père, il faut considérer les faits et en l’occurrence, la véracité de ces témoignages n'est pas établie. Néanmoins, ils ouvrent le champs des possibles et fait briller l'étoile, en chacun de nous ; celle que nous appelons Espoir.
J’espère que ce billet vous aura intéressé, ou tout du moins fait passer le temps ! En attendant la semaine prochaine, portez-vous bien et soyez prudents sur les pistes !